Qui suis-je ?
Qui était Kweena ? Avez vous entendu déja parler d'elle ? D'ou viens t'elle ?
On dit d'un ange qu'il est une personne d'une grande douceur, Kweena n'en a certes pas l'air, sans doute les erreurs passées, mais une légende dit que certains sentiments pouvaient en donner...
C'est ainsi que cela a commencé, cette nouvelle vie...
Cette légende raconte la vie d'une communauté d'anges, elle fut souvent reprise dans d'autres grands livres, le lieu où ils vivaient s'appelaient « Paradis », un monde rempli de joie et de bonne humeur où règnaient la paix et l'abondance. Il suffisait d'y croire pour l'aperçevoir, ce monde idéal, utopique dirait-on.
Kweena se posait une montagne de question ' Ce monde existe t-il ? Comment y aller ? N'est-ce qu'un rêve ? Serais-je déçue ? '. Quoi qu'il en soit, il fallait y croire, c'était le secret de cette histoire. Elle se mit en route pour son pélerinage long et destabilisant. Il fallait grandir, sortir de son monde en piou
Elle sortait de la foire du trool avec son groupe d'amis, c'était un long soir d'automne. Ils se dirigeaient vers leur monture quand tout à coup, des fées d'artifices s'élançèrent au loin devant la bande d'amis. Une belle bleue ! Une autre géante verte... Puis le bouquet final, une jolie fée toute blanche s'élança droit dans le ciel, si haut qu'on ne l'aperçevait plus, puis elle retomba en piquet, à mi-chemin, déploya ses ailes et lança sa poudre scintillante qui recouvrit au loin le paysage, pour finir, elle disparut dans un déferlement de couleur. On pouvait voir la grande cité de Bonta resplendir de mille feux. Cela lui fit penser à ce « Paradis » perdu. Elle resta donc immobile devant le somptueux spectacle, s'imaginant traverser en courant les rues parsemées de paillettes d'argent. Elle garda donc dans l'idée d'y aller un jour, ne serait-ce que pour visiter...
L'hiver s'installait, la jeune fille décida d'entreprendre l'escapade à Bonta, la citée blanche, sur le dos de sa dinde, "Suceuse". Elle chargea sa lourde besace sur le dos de sa monture, puis se lança à l'aventure. Elle les avait comptées, avec sa dinde trois heures lui suffiraient pour atteindre le portail.
Elle s'assit sur sa dinde, se tenant en amazone sur celle-ci, puis chevaucha les plaines de Cania. Le chemin fut terriblement long et gelé. Ils ne manquèrent pas de s'effondrer à plusieurs reprises, mais cela se transforma en un loisir; glisser le long des plaines...
Elle finit par se cogner à un rocher, puis, reprenant son esprit, elle observa le paysage autours d'elle, des champs à perte de vue... Tous, recouverts de neige. Elle en déduit donc que la ville ne devait pas être bien loin, alors elle continua de marcher en traversant les épis plein de neige; si elle était venue quatre ans auparavant, elle aurait demandé à sa mère si ces plantes n'avaient pas été des 'neigiers'.
Elle s'approchait lentement de l'illustre cité, croisant des gardes souriants...
Un peu fatiguée du voyage, elle alla se reposer à la première taverne qu'elle croisa.
« Et une bière ! Une ! » l'ambiance était plutôt festive, un peu trop pour elle d'ailleurs, les gens saouls, qui avaient bu trop de jus de passaoh de l'ile d'Otomaï, commençaient à envahir la salle. Alors Kweena sortit et se promena dans cette ville qu'elle admirait tant. Puis le froid la prit, elle entra dans la plus proche batisse qu'elle trouva : l'atelier d'alchimie. Elle s'adossa à l'un des murs et rencontra une de ses vieilles amies. Quel hasard ! Elles discutèrent longuement. Elles n'avaient pas remarqué les deux jeunes hommes postés à l'entrée de l'atelier. Ils les interpelèrent sur un ton provocateur. « Oh la moche ! Artoyz est le plus beau de toute façon » ou encore « Elle est moisie, verte malade et moisie »... Quels muffles ! Pensa t-elle. Ni gentleman, ni courtois, ni gentils. C'était ça, des anges ? Elle oublia vite ce mauvais épisode. Ce feca blanc comme la poussière et ce cra vert comme une salade ne devaient pas être de dignes habitants de cette contrée magnifique. Elle remarqua, néanmoins, un détail qui la fit un peu sursauter. Ils portaient tous les deux un pendentif rond, bleu et clair comme l'eau de jouvence, serti d'une pierre blanche taillée. Elle avait déjà vu cela quelque part. Mais où ? Mais oui ! Dans le grimoire de la légende... Les dernières lignes...
Un peuple a été chéri par les dieux,
Ils furent tous sauvés de l'apocalypse.
Pour se préserver de toutes les éclipses,
De jouir de leur vie en étant toujours heureux.
Ils porteront le symbole de l'éternel :
Un médaillon couleur de glace et de magie,
Un coeur ne connaissant point la démagogie.
Et ceux-là seront des guerriers sempiternels.
Ces rustres gaillards étaient de réels anges...
Kweena y pensa longuement après leur départ. Pourquoi croire en des anges alors qu'ils ne respectent rien... ? Elle songea à repartir, déçue de son séjour.
Puis, sur le chemin de l'étable, elle recroisa ce cra étrange et désagréable... Elle passa son chemin tranquillement. Mais qu'est-ce qui lui était passé par la tête ? Le cra attrapa son épaule. Elle sursauta. Surprise. « Que me voulez-vous ? » lui adressa t-elle. Elle se sentait mal à l'aise, pas à sa place... Le cra désinvolte ne lui répondit pas... Il lui tendit une edelweiss, aussi blanche que la neige. Comment le prendre ? Des excuses ? Des avances ? Qu'était-ce ? Et où était son viel ami ? Trop de questions tourbillonaient dans sa tête. Elle accepta la fleur et lui posa une autre question : « Pourquoi ? »
Il décocha une flèche en l'air puis s'enfuit. La flèche retomba au pied de la jeune fille perdue. On pouvait y lire « I-Extinction ». Elle attrapa la flèche et le poursuivit. Impossible à trouver...
Elle observa attentivement la flèche... « Le chemin de l'horreur » y était inscrit de l'autre côté. Elle grava « Demain, 23 heure, au clair de lune. Atelier alchimie. » sur l'espace restant de la flèche; elle la replanta dans le même creux où elle était tombée.
Effectivement, le lendemain, il était là. Il l'amena faire un tour grâce au transporteur brigandin posté devant l'entrée de la ville. Elle volait... Et c'était ça avoir des ailes... ? Pouvoir admirer le monde, le vrai. Il devait y avoir une part de magie là-dedans, et sans doute aussi, une part de rêve. Quoi qu'il en soit, le monde reparaissait magnifique pour elle... Elle recroyait aux anges et peut-être plus, elle avait fini par croire en beaucoup d'autres sentiments, tel que la contemplation, l'intime conviction que tout pouvait touner autour d'une seule personne, en le valorisant toujours plus... L'autre.
«Je ne suis pas un ange» , lui dit alors le cra. «Je suis un enculé, et nous les enculés on s'entraident».
D'un coup d'un seul, devenir une enculée commençait à prendre une grande part dans son coeur. Elle se questionna donc sur le fait que les anges ouvrent leur coeur pour enculer... Elle voulait le faire elle aussi...
C'est pourquoi aujourd'hui, elle frappe à votre porte, ancre en main, en croyant très fort à son dessein. Deviendrais t-elle un enculé ?
Moi
Je m'appelle Antoine, j'ai 21 ans, j'aime le foot, le basket, le tennis, le badminton, j'ai un ENOOOOORME tennis bien caché dans mon jardin également.
Si y'as des amoureux de sport je les satisferaient donc grandement ! Je suis franchement une masse pour parler de sport. Notez que ca m'apportera rien dans la vie ^^.
Mon Perso
Pas grand chose a raconter je ne suis qu'une petite steameuse de cercle 15, que je risque sans doutes de jouer en perso principal d'ici quelques temps. Je sais que j'ai un petit niveau mais je vous demande d'êtres assez souples sur ça je progresse vite, je connais déja très très bien le jeu
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